Recherche par auteur : Baecque, Antoine de
3 résultats.
Lu par : Virginie Trin
Durée : 3h. 24min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 68542
Résumé:Au matin du 22 juin 1835, une expédition part pour les Alpes du Sud. Elle est financée par l'asile de la Salpêtrière dans le but de récupérer quelques crétines. Jean-Pierre Falret, l'aliéniste qui dirige le service des idiotes du grand hôpital parisien, tient à interner ces jeunes femmes arriérées physiquement et mentalement, typiques des massifs montagneux, dont la médecine et la presse de l'époque font grand cas. Peut-on guérir le crétinisme alpin ? Doit-on éduquer ces êtres difformes et limités ? Eugénie, l'une d'elles, révèle une personnalité rare, entre innocence et sauvagerie.
Lu par : Manon
Durée : 5h. 39min.
Genre littéraire : Littérature fantastique
Numéro du livre : 35305
Résumé:La famille Villemort, composée de nobles vampires dont l'existence se fonde sur l'idéologie du sang, est divisée suite à la Révolution française. Certains de ses membres s'engagent pour les idées nouvelles et l'action révolutionnaire afin de renoncer au sang de la race et échapper à la malédiction vampirique. D'autres veulent préserver la tradition, la hiérarchie et la généalogie. Premier roman. ©Electre 2017
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 13h. 48min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 35136
Résumé:La marquise du Deffand tient salon rue Saint-Dominique, où se pressent écrivains, mondains, aristocrates et philosophes. Tous partagent la drogue de la sociabilité et le goût idolâtre de la langue, passions si prenantes que, lorsque Mme du Deffand devient aveugle, à l'âge de cinquante-six ans, elle ne se sent pas détruite. Son grand oeuvre, ce sont ses lettres, qu'elle dicte désormais, véritables chefs-d'oeuvre aux amis. Quand l'aristocrate anglais Horace Walpole passe par Paris en 1765 et croise Mme du Deffand à la fin de l'été, il est lui aussi célèbre - écrivain dilettante, voyageur, excentrique, élégant. L'audace de la marquise étonne et séduit bientôt Walpole. Elle est plus vivante que jamais. Cette singularité le conduit à entamer une correspondance, en avril 1766, qui ne cessera qu'avec la mort de Marie du Deffand, en 1780. Plus que tout, la salonnière redoute l'ennui. Elle est toujours en quête de nouveau et, plus profondément, d'étrangeté. Chez Walpole, l'auteur du Château d'Otrante, prototype du roman noir anglais, elle est séduite par l'imagination. Il y a entre eux un accord de fantaisies et de troubles, entre divertissement et mélodrame. Les lettres de Mme du Deffand présentées ici plongent au plus profond de zones aventureuses et obscures, celles de la passion amoureuse que l'on n'ose pas avouer mais que l'on dit trop bien ; une part d'enfance qui, soudain, s'enfuit vers la nuit de la vieillesse et de la mort. Mais il y a là, également, sous la plume sarcastique et terriblement drôle de l'une des plus grandes épistolières françaises, une chronique mordante de l'air du temps, cette douceur de vivre des salons, de la cour et de la ville.